Jusqu’à 1990, une rue de Ténès portait le nom de Pierre Ghenassia, un enfant juif de la ville, tombé au champ d’honneur pour la libération de l’Algérie. Les élus islamistes installés à l’APC en 1990 rebaptisèrent la rue au nom d’El-Qods.

Jusqu’à 1990, une rue de Ténès portait le nom de Pierre Ghenassia, un enfant juif de la ville, tombé au champ d’honneur pour la libération de l’Algérie. Les élus islamistes installés à l’APC en 1990 rebaptisèrent la rue au nom d’El-Qods.
L'ancienne membre du réseau Jeanson de soutien en France à la Révolution algérienne, appelé aussi "Les porteurs de valises", Aline Moussaoui, s'est éteinte, le 26 juin à Paris, à l'âge de 86 ans, des suites d'une longue maladie, a annoncé l'Agence de presse algérienne (APS).
Les secrets d’un discours – Août 1958 Akfadou (Grande Kabylie)
Guy de Maupassant a écrit : "Le monde accuse, soupçonne et calomnie avec une déplorable facilité." Mais lorsque les preuves sont palpables et écrites, doit-on escamoter les faits ?
Il n’a pas écrit ses mémoires, il n’a pas fait un roman de sa vie et pourtant sa vie fut on ne peut plus romanesque, mêlant l’amour du théâtre et l’anti-colonialisme sous le signe commun de l’engagement. A 92 ans, Jean-Marie Boeglin vient de disparaître. Le théâtre à Lyon, à Grenoble et à Alger perd un vieux compagnon de route.
En 1995, cela faisait déjà trois ans que l’Algérie commémorait presque quotidiennement la mémoire de citoyens morts durant ce que les uns appellent la « décennie noire », et que d’autres n’hésitent plus à qualifier de guerre civile.
Fernand Iveton, militant pour l’Algérie indépendante, est guillotiné.
«Dans la vie d’un homme, la mienne compte peu, ce qui compte, c’est l’Algérie, son avenir, et l’Algérie sera libre demain.»
Zohra Drif est une Modjahida et militante dans le FLN et épouse de Rabah Bitat, un des neuf chefs historiques du FLN.
Très peu connu des nouvelles générations, Jean Marie BOEGLIN est un grand homme de théâtre français et militant anticolonialiste.
Qui d’entre vous connait une certaine allemande qui a servi l’Algérie pendant la révolution ?! On a tous entendu parler d’allemands mais une allemande il en existait qu’une seule.
Le parcours d’une femme d’engagement qui lutta auprès de son mari, Messali Hadj, pour l’indépendance de l’Algérie (lundi 26 janvier à 23 h 30 sur France 3)
Née le 18 janvier 1938 à El-Asnam (aujourd'hui Chlef), Hassiba Ben Bouali y entama ses études primaires, qu'elle poursuivit à l'école Aïn Zerga, à Alger, où ses parents s'étaient installés en 1947. Elle obtient le certificat d'études primaires en 1950 et entre au lycée Pasteur (aujourd'hui annexe de la Faculté Centrale), où elle y étudia jusqu’en deuxième année.
Après la compilation que le label Habibi Funk lui a consacrée, la réalisatrice Paloma Colombe dédie le documentaire Planet Malek à ce prolifique génie oublié qui a signé une bonne partie de la bande son des années 70 en Algérie.
Il y a soixante ans, le 23 mars 1956, Mostefa Ben Boulaïd, le chef de la Zone 1 de l’Aurès, est victime d’un attentat concocté dans les officines du service «Action» du SDECE français et accompli par les hommes appartenant au Groupement léger d’intervention (GLI), au mois de mars 1956.
Cheikh Aheddad ou encore Cheikh El Haddad, de son vrai nom Mohand-Améziane Ben Ali El Haddad, est une figure des révoltes populaires menées contre les colons français après 1830. Il est né vers 1791. Sa famille quitte Béni Mansour pour s’établir à Ighil Imoula dans la vallée de la Soummam puis à Seddouk. Son grand-père était forgeron d’où le nom de famille El Haddad.
De son vrai nom Yacef Omar, figure emblématique de l'enfance algérienne engagée dans la guerre d'indépendance.
Pour Habibi Funk et Apple Music, Paloma Colombe s’est lancée sur les traces d’un monument méconnu.
Boufarik 1957.
"L'Algerie est perdue pour la France" déclare fermement un vieil homme au chapeau-mou à l'attroupement du'une quarantaine d'Européens qui observaient silencieusement, fortement impressionnés et effrayés, les corps inertes des onze combattants du groupe Si Moha Kaddour.
Aït Mokrane Hadj Mohand dit Cheikh El Mokrani est né en 1815. Fils de cheikh Ahmed El Mokrani qui etait le Khalife de la région de Medjana située dans les hauts plateaux et dont il hérite.
De son vrai nom Ammar Ali, est un combattant du FLN pendant la guerre d'Algérie, participant notamment à la bataille d'Alger, aux côtés de Hassiba Ben Bouali, Zohra drif, Petit Omar et Yacef Saadi chef de la Zone Autonome d'Alger (ZAA).
Abdelhafid Ihaddaden, premier atomicien afrcain a trouvé la mort dans un accident d'avion le 12 juillet 1961.
« Cher Maître,
Je m’excuse si mon ton vous parait un peu grave, mais la question pour moi à son importance : ma grâce. N’y réfléchissez plus.
Youcef Zighoud (en arabe : ???? ?????), né le 18 février 1921 dans le village Smendou qui porte aujourd'hui son nom (au nord-est de Constantine) et mort à Sidi Mezghiche le 25 septembre 1956 dans un accrochage avec l'armée française, est un responsable du FLN combattant pendant la guerre d'Algérie dans le nord-Constantinois.
Nous venons d’apprendre le décès de Zina Harraïgue-Benadouda. Pour beaucoup d’entre nous et surtout pour la nouvelle génération d’Algériennes et d’Algériens ce nom pourrait ne rien évoquer.
Il fut assassiné par les parachutistes, il y a cinquante- sept ans, le 21 juin 1957. Comme des milliers de disparus de la Bataille d'Alger, son corps n'a pas été retrouvé.
En mars dernier [2015], "le Nouvel observateur" révélait les circonstances de la mort du mathématicien sous la torture. Ce jeudi, François Hollande lui rend hommage.