Il n’a pas écrit ses mémoires, il n’a pas fait un roman de sa vie et pourtant sa vie fut on ne peut plus romanesque, mêlant l’amour du théâtre et l’anti-colonialisme sous le signe commun de l’engagement. A 92 ans, Jean-Marie Boeglin vient de disparaître. Le théâtre à Lyon, à Grenoble et à Alger perd un vieux compagnon de route.
